APPEL RCA 5890 AU JUGEMENT RC14.495
En première instance, il y a eu un peu de cafouillage entre avocats lors des plaidoiries du 25/11/2019 de sorte qu’il n’a pas été compris tout de suite que l’attaque de IME et du CAMI allait se porter sur la forme. Lorsque Maître Firmin Yangambi a fait voir que la forme était perfectible, il a immédiatement déposé une requête en réouverture des débats, le 12 décembre 2019 (cf page reouverture-plaidoirie ) Le TGI/KIS a alors antidaté le prononcé du jugement ( voir page antidaté ). Me Yangambi a déposé une plainte disciplinaire le 09 janvier 2020 ( voir page plainte ) La réponse est affi.geante Du coup, le jugement RC14.495 a réformé notre assignation en tierce opposition pour défaut de qualité à agir, Selon le tribunal les documents transmis (calque) ne prouvent pas l’existence de la société Thaurfin ltd !!! Ceci est un exemple de jugement INIQUE d’un tribunal corrompu. Le 15 janvier 2020, Maître Firmin Yangambi dépose l’acte d’appel n° 505/2020 (voir onglet Acte d’appel) La notification d’appel et assignation sous RCA 5840 ont été signifiées à IME et au CAMI le 6 février 2020 pour une convocation à la Cour d’Appel de Kisangani le 25 février 2020 (voir onglet Significations ) Le 25 janvier 2020, Maître Firmin Yangambi a été élu à une très large majorité Bâtonnier du barreau de Tshopo, avec comme crédo : la lutte contre la corruption dans la Justice https://afrique.lalibre.be/45988/rdc-un-ancien-prisonnier-politique-me-yangambi-elu-batonnier-de-lordre-a-kisangani/ Cette nomination apporte beaucoup d’espoir à la Population pour une éclosion prochaine d’un Etat de Droit Ce dossier que le Bâtonnier à pris en charge est une revanche sur un système qui voulu l’anéantir. Adepte passionné de la non-violence, Firmin Yangambi a toujours nié les accusations à son encontre et assuré qu’il faisait l’objet d’une machination politique. Deux co-accusés, Benjamin Olangi et Eric Kikunda, ont été condamnés à dix ans de prison. Alors que sa libération était réclamée par l’opposition, Me Yangambi a été exclu de l’amnistie de février 2017, exécutée suite à l’Accord de la St-Sylvestre conclu deux mois plus tôt. On ignore les raisons de l’acharnement du pouvoir politico-judiciaire à son encontre, mais sa tentative de présenter sa candidature à l’élection présidentielle de 2006 n’y serait pas étrangère.