•
ATTESTATION
OFFICIELLE
(
page
attestation
)
selon
laquelle
l’adresse
menstionnée
de
Mr
Bonna
Misunu
David
sur
l’acte
de
cession
(
AN28
)
est
fausse
et
inexistantes sur les certificats de recherche (
AN29
)
•
DECLARATION de Me Bombeshay selon laquelle Mr Bonna Misunu David est une personne fictive (
calque Bombeshay
)
•
LE
REFUS
DU
CAMI
de
remettre
les
documents
devant
prouver
l’existence
de
ce
personnage
et
de
ses
présumés
anciens
PR
demandé
en
avant
propos
de
l’annexe des conclusions addionnelles (
PDF
)
•
LA
SOI
DISANTE
TRANSFORMATION
d’anciens
ZER
en
très
petits
polygones
de
6X6
carrés,
expliqué
dans
l’annexe
technique
ci-dessous,
(aussi
disponible
en
PDF
TH-018-20.pdf
)
Selon
l’arrêt
RCA5890
de
la
Cour
d’appel
de
Kisangani
du
10
juin
2021,
la
cession
des
36PR à IME ltd n’a aucune valeur juridique , cf 26ème feuillet ci-contre
Cet
arrêt
relate
l’absence
des
formulaires
de
demande
de
droit
minier
tel
que
la
société
Thaurfin
ltd
l’a
demandé
dans
l’avant
propos
de
l’annexe
aux
conclusions
additionnelles.
L’acte
de
cession
entre
un
supposé
Bonana
Misunu
David
n’a
aucune
valeur
juridique.
Selon
l’avocat
historique
de
JEKA
et
Rubi
River,
Me
Paulin
Bombeshay
,
le
personnage
Bonana
Misunu
David
serait
une
personne
fictive
créée
par
feu
Augustin
Katumba
Mwanke.
Cette
information
aurait
été
donnée
par
Mme
Chantal
Bashizi
qui
en
avait
assez
de
défier
la
loi.
Selon
Me
Paulin
Bombeshay,
ce
même
personnage apparaît dans un autre dossier, celui de KGL/SOMITURI, dont l’associé de JEKA sarl, Mr Ntumba, est aussi associé.
Par
ce
mail
du
22
janvier
2020
suite
à
l’attestation
officielle
selon
laquelle
ce
personnage
n’a
jamais
résidé
aux
adresses
mentionnées
sur
les
documents
officiels,
il
a été demandé d’établir une attestation officielle. Malheureusement, elle n’a jamais été établie, par contre cette information n’a pas été démentie.
Les informations communiquées par Me Paulin Bombeshay sont mises au conditionnel puisque nous n’en avions aucune preuve. Il fallait donc les chercher.
C’est
pour
cette
raison
que
Thaurfin
ltd
demandait
au
CAMI
et
à
IME
les
preuves
de
l’existence
de
ce
personnage
et
de
ses
présumés
anciens
permis.
Cela
a
été
demandé en avant-propos de l’annexe de 328 pages des conclusions additionnelle (annexe 02
cf PDF
).
Parmi
ces
documents,
Thaurfin
ltd
a
exigé
les
copies
des
demandes
des
permis
déposées
le
13
mars
2006,
selon
le
portail
en
ligne
du
cadastre
minier.
Les
informations exigées sur formulaires de demande de PR sont les suivantes lorsque JEKA a déposé ses 43 demandes de PR
Cet
Arrêt
bien
rendu
ne
plaît
pas
au
CAMI
responsable
des
nombreuses
turpitudes,
ne
pouvant
pas
se
pourvoir
en
cassation
qui
serait
jugé
à
la
CCJA
à
Abidjan,
le
Directeur Général du CAMI a déposé une requête de prise à partie à la Cour de Cassation contre les juges.
Cette analyse prouve qu’il n’y avait aucune cause de cassation et que l’arrêt rendu est inique.
L’arrêt de la Cour d’Appel RCA5890 a été réformé et les juges n’ont pas été condamnés.
Selon cette maxime toute décision judiciaire considérant l’existence des 36PR octroyés à Dan Gertler (l’accessoire) est anéantie par leur inexistence (le principal).
De nombreuses causes factuelles impliquent l’inexistence des 36PR octroyés à Dan Gertler dont la première est suffisante.
L’inexistence du requérant et des permis transformés est une seconde cause non nécessaire mais représentative de l’ampleur de l’escroquerie.
Ces causes sont dicumentées dans ce dossier
https://thaurfin.com/INEXISTENCE.pdf
Ce
mail,
ci-dessous,
est
adressé
à
Monsieur
Joseph
NTUMBA,
associé
de
la
société
JEKA
sarl,
et
à
son
avocat
historique
Me
Paulin
BOMBESHAY.
Celui-ci
a
été
témoin
d’une
déclaration
de
la
DGA
du
CAMI, Mme Bashizi, selon laquelle Mr Bonna Misunu David est une personne fictive créée par Augustin Katumba Mwanke.
Par
ce
mail,
Thaurfin
ltd
demande
une
attestation
sous
seing
privé
confirmant
ce
témoignage.
Aucune
suite
à
ce
mail
n’a
été
donnée,
confirmant
la
véracité
de
ces
allégations
mais
aussi
de
la
crainte
de représailles.